J’étais donc au salon du Fantastique, porte de la Villette, pour la cinquième édition de l’évènement, malheureusement plombé par une météo pluvieuse (et le second tour des élections présidentielles ?). Il faisait froid, surtout pour nous qui étions bien en face de la porte, direct dans les courants d’air, mais je plains surtout les exposants qui, dehors, ont affronté la pluie… les pauvres ! À l’intérieur, il m’a semblé que nombre de visiteurs étaient perturbés par l’agencement des allées et ne savaient pas vraiment dans quel sens prendre le bidule. Beaucoup venaient pour le côté costumé, avec des stands d’artisanat du cuir, de vente de thé et autres friandises, de dessins ou de costumes et accessoires. Le côté littéraire était presque « annexe » et peu d’éditeurs semblent avoir rencontré un public suffisant. La bonne humeur restait de mise et j’ai pu enfin rencontrer des auteurs que je n’avais jamais vu, comme Anthelme Hauchecorne ou Olivier Gechter, et en revoir d’autres comme Nathalie Dau ou Corinne Guitteaud. Sans oublier, bien sûr, mes éditeurs, le Chat Noir, mais aussi Voy’el et le Grimoire. Du coup, j’ai tout de même passé un bon moment, même si nous n’avons pas vu grand monde. Ce n’est que partie remise !
Le stand des Indés de l’Imaginaire, où j’ai effectué mon seul craquage du jour : le Baron Noir d’Olivier Gechter.
Moi, toujours aussi naturelle, et Anthelme Hauchecorne, un commercial dans l’âme.